Le premier cours

Nomonzu arriva dans ça salle de cour, il posa ça malette sur la petite table qui lui servai de bureau pui il pausa les yeux sur les tatami avent de les monter vers la pendule de la salle.

"Hum ... les élèves vous arriver ..., j'esper qu'il va pas y avoir trop de monde pour mon premier cour en école ..."

Puis il farfouilla dans ça sacoche et il en sorti un pille de feuille, quant soudin la sonerie retenti.

"Et voila il vons arriver ..."

Aestrëlia se perparer a rentrer en cours quand elle s'apercut qu'elle avait oublier quelque chose. Vu l'heue qu'il était, elle n'avait pas le temps de revenir. Elle s'y resigna et scruta les salles a la recherche d'un ame qui vive. Elle s'areta devans une salle peu grande ou un homme se tenait. Elle le regarda sortir une pile de feuille, et se dit que ce devait etre un prof. Pendant un instant, elle se demanda ou était passer les eleves. A moins qu'elle soit bete, c'est avec des élèves qu'on fait cours. Elle s'avanca et regarda la pièce. A première vu, elle était plutot délabré, et les tatami par terre avait une drole de tête, comme si on avait tapé dessus. C'est a ce moment qu'Aestrëlia se rendit compte qu'elle était dans une salle de combat. Elle qui avait toujours detester se battre, il fallait que la malchance tombe sur elle. Discretement, elle fit demi-tour et se précipita vers la sortie. Mais elle se prit les pieds dans le tatami et s'étala de tout son long. Elle grommela des jurons.

*Comme tentative discrete on ne peut pas trouver mieux*

Elle se releva et rouge de honte, essuya son nez qui en avait pris un bon coup, et qui, maintenant, saigner. Elle se retourna pour voir si on ne l'avait pas entedu, ce qui pour etre le cas, il faudrait etre sourd, carelle est retomber dans un bruit sourd. Elle se raidit voyant qu'on l'avait non seuleent remarquer, mais on la regarder. Elle marmonna quelque chose d'inaudible et lanca d'une voix eteinte.

- Je suis désolée....

Nomonzu leva la tête quant il entendi le bruis sour de la chute de la jeune fille, et il esquissa un sourir quant il l'entendi s'excuser.

"ce n'est pas grave ... vous venez assister au cours ?"

Il savait très bien au fond de lui qu'elle cherchai plus a fuir ça salle plus tôt qu'a y entré ... mais il posa quan même la question, avec un peu d'espoir.

Aestrëlia porta sa main a son nez, il saigner encore. Elle grommela, comme a son habitude, et reflechis a la question posé. Evidemment, ce n'est pas le cours auquel elle avait rever de participer, mais l'école, c'est fait pour aprendre. Elle releva la tête et repoussa une meche de cheveux qui lui tomber devant les yeux. Si elle répondait oui, on allait lui prendre la tête, ce qu'elle detester le plus au monde, mais si elle disait non se serait encore pire, et elle ne pourrais absolument pas le supporter. Elle répondit a contre-coeur :

- Euh... oui....

Elle regretta bien vite ses paroles. Car, a peine avait-elle finit qu'elle sentait deja venir les ennuis. Il n'allait pas la lacher d'une semelle. Elle eu soudain envie de partir en courant, mais au lieu de ca, elle baissa la tête et grinca des dents, esperant qu'il ne verrait pas sa gene. Bien qu'elle fit de son mieux, se cachant derrière un masque de cheveux, elle savait bien que cet homme ou plutot "prof", sentirais qu'elle s'en fichait completement de son cours.

* Pourquoi, sa doit toujours tomber sur moi, je suis maudite ou quoi ? TT*

Elle osa relever la tête pour voir la reaction de son interlocuteur, bien qu'elle n'eut en ce moment, envie de parler a personne.

Le professeur avait bien remarqué le manque de volonté de son élève, mais le fait d'avoir un élève qui n'aime pas le combat était un défi à relever, aussi il garda son sourire et il approcha de son élève, puis il sortie un mouchoir de tissu blanc de sa poche et lui mi dans la main.

"Je vous remercie de bien vouloir assister à mon cour"

Dit-il avec gentillesse. Puis il alla chercher une feuille qui était sur sont bureaux et la donna à l'élève.

"Comme je sent que vous n'êtes pas motiver par les cours pratique ... peu être pourrions nous commencer par faire les présentations"

Il regarda ça fiche et ce senti un peu ridicule ...

"D'accord oublions les formalité, je m'appelle Nomonzu Tajima je suis professeur de combat, j'aimerais que vous vous présentiez en me disent votre nom, votre âge et tout ça qui vous passe par la tête ^^"

Aestrëlia pris le mouchoir et le porta a son nez, qui n'aretait pas de saigner. Elle se sentait mal a l'aise et ne vouler absolument pas débuter le cours ni même entendre ce mot.

"Je vous remercie de bien vouloir assister à mon cour"

Aestrëlia sentit une poite d'amusement dans ces paroles, ce qui la fit décroche un leger sourire. Ne sachant pas quoi dire, elle se tortilla dans tout les sens. Bien qu'elle conserva son calme habituel, elle ne savait que dire et encore moins que faire.

"Comme je sent que vous n'êtes pas motiver par les cours pratique ... peu être pourrions nous commencer par faire les présentations"
Cette remarque fit trésaillir Aestrëlia. On ne lui avait jamais fait une remarque de ce genre. Elle se sentit honteuse de son comportement, mais après tout, c'était de sa faute, il ne fallait pas venir lui parler. Elle le regarda discretement, et se sentit rougir, non pas de honte, mais elle sentait qu'elle ne pouvait pas decroche un seul mot.

"D'accord oublions les formalité, je m'appelle Nomonzu Tajima je suis professeur de combat, j'aimerais que vous vous présentiez en me disent votre nom, votre âge et tout ça qui vous passe par la tête ^^"

Cette fois, c'en était trop. Cette remarque provoqua de la rancoeur a Aestrëlia. Elle fit une grimace de dégout. Elle ne voulait pas discuter, et ca ne date pas d'aujourd'hui. Elle regarda son mouchoir et se demanda si elle avait la même couleur que son sang tellement elle se sentait mal a l'aise. Elle poussa un long soupiret d'une voix seche lança a son interlocuteur :

- Mon nom est Aestrëlia Tsukino, j'ai 15 ans. Et je n'ai rien a dire d'autre.... Si vous avez besoin d'autre chose.

Elle ne put s'empecher de lancer un regard plein de froideur a son interlocteur, mais c'était plus fort qu'elle. Sa voix pourtant, était douce et assuré. Comme son visage, elle ne collait pas forcement a sa personnalité plutot forte. Elle attendit donc en pensant a autre chose, et en srcutant la salle, a la recherche d'une diversion.

Nomonzu eux du mal à garder son sourire, il se dirigea vers la porte et la ferma, puis il se dirigea vers son "bureaux" en silence et s'assit sur le coin de celui-ci, il fixa sont élève.

"Vous êtes entrée ici par accident, n'es pas ? Dans ce cas rien ne vous empêches de partir, certain sont fait pour le combat d'autre pas, les goûts et les couleurs ça ne ce discute pas ..."

*Et bien ... l'année commence bien ...*

Puis il se retourna vers c'est affaire ne laissent pas le temps a sont élève de faire quoi que ce soit, il ramassa c'est affaire et ce dirigea vers la porte.

"Comme il y en a fait pour être prof et d'autre non ..."

Dit-il un peu moins fort en ce dirigeant vers la porte.

Aestrëlia ne trouver rien a dire et ce contenta de penser a autre chose.

"Vous êtes entrée ici par accident, n'es pas ? Dans ce cas rien ne vous empêches de partir, certain sont fait pour le combat d'autre pas, les goûts et les couleurs ça ne ce discute pas ..."

Ne sachant quoi répondre, elle haussa les épaules, et fronca les sourcils.

"Comme il y en a fait pour être prof et d'autre non ..."

Pour la premiere fois, Aestrëlia ressentit le besoin de parler. Elle ouvra la bouche mais ne savait pas quoi dire. Elle resta silencieuse un moment et lança avec un sourire narquois :

- Vouler-vous dire que je ne suis pas doué pour les sports de combat ou que vous n'etes pas ouer pour enseigner ?

Cette remarque, elle la regretta mais ce dit que il fallait bien comprendre ce que ce "prof" vouler dire. Elle attendit donc sa réponse, un leger sourire au lèvres.

Nomonzu se stoppa.

"J'ai dit que certain n'était pas fait pour le combat ... quant à moi..."

Il se retourna, vers l'élève avec un ton sec et sévère mais, l'intérieur de ses yeux était tristes au contraire de ce qu'il voulais montré au bout d'un petit instant son visage montra enfin ce qu'il avait dans les yeux.

" ... moi je suis un homme d'action ... je n'ai jamais vraiment enseigné, j'ai appris a quelques jeunes des quartier pauvre a se défendre ... et le code d'honneur d'un combattant, c'est ça que je voulais apprendre au jeune d'ici mais ... à croire qu'ils ne sont pas prêts ... cette communauté est trop individualiste ..."

Aestrëlia se retenu un petit rire. Elle compris ce que vouler dire Nomonzu et le reconnu en hochant la tête. Elle aussi avait vecu durant sa vie de triste moments. Elle n'en regretter aucun, car elle avait appris a ce defendre, et a rester de marbre. Certains de ces anciens camarades la traiter de sans-coeur. Elle sourier toujours a leurs remarque. Jamais elle n'avait ressentitle besoin de se fier a quelqu'un pour avancer. Sa mère ne cessait de lui repeter qu'elle devait toujours sourire, toujours etre de bonne humeur, et surtout, ne jamais refuser de l'aide. Jamais de toute sa vie elle n'aait suivit ces regles. Jamais elle n'avait accepter de l'aide, lui montrer son sourire qu'elle cachait a tout le monde, et encore moins etre de bonne humeur. Mais cela ne l'avait pas empecher de vivre. Elle avait grandi comme ca, et elle restera comme ca. Elle lui souria et lui lança :

- Donc, quand est-ce qu'on va commencer ce cours ? C'est pas que je m'ennuie mais comme j'ai rien d'autre a faire....

Nomonzu retourna à son bureau sans dire un mot et sans se retourner il demanda :

"Vous manier quel élément ? Si toutefois vous en avez un ..."

Il semblait chercher quelque chose dans sa sacoche en cuir, quand il le trouva il méta dans sa poche, puis il se tourna vers sont élève, il semblait avoir retrouvé un certain sourire et un certain enthousiasme même s'il savait que sont élève participer a sont cour à contre coeur.

Perdut dans ses pensée Aestrëlia se rappeler de douloureuse époques de sa vie. Quand son professeur lui dit :

"Vous manier quel élément ? Si toutefois vous en avez un ..."

Aestrëlia se souvenut du jour ou elle avait decouvert ses pouvoirs. Completement par hasard d'ailleurs. Elle regarda ses mains et dit :

- Je maitrise l'élement de la Terre.

Elle ne savait que dire d'autre. On lui avait poser une question elle s'efforcait d'y répondre du mieux qu'elle put bien qu'elle rajouta a son plus grand regret pour elle.

* Si je pouvait me comprendre aussi bien que je comprends la terre je trouverais des réponses a mes questions....*

Elle soupira et plongea son regard dans celui de son professeur. Elle detourna son regard et le cacha derière sa franche. Elle n'avait jamais supporter regarder quelqu'un dans les yeux, de peur d'y voir trop de chose. Elle osa demander :

- Que vous apporte cette réponse ? Je veut dire... Comment l'élément que l'on maitrise nous influence dans votre cours ? Il faut suivre un entrainement différent pour chaque élémentaliste ?

Elle ne s'interessait pas vraiment a ca, et avoir la réponse ne lui importer peu, mais il fallait bien qu'elle trouve quelque chose d'interessant a dire.

Nomonzu pris l'objet qui ce trouvai dans sa poche, c'était un poing américain en argent il l'enfila et répondit :

"Voyez vous, les éléments que nous portons sont une certaine manifestation de notre esprit, aussi savoir quel élément maitrise mon élève m'en dit un peu plus sur votre personnalité, le fait que vous ne pouvez me regarder dans les yeux aussi, d'ailleurs avec ce que j'ai appris sur vous je sais que vous avez un fort caractère ce que j'aime chez quelqu'un mais, aussi que vous êtes proche de la nature et aussi je sais par vos yeux que j'ai aperçus que vous n'avez pas du avoir une vie très facile mais, nous ne sommes pas la pour ressasser le passer"

Son arme commença à briller, il toucha le métal d'une chaise et un filin de métal ce déplaça et alla créé une cible un peu plus loin.

"Montrez moi ce que vous savez faire "

Aestrëlia ne savait pas trop quoi faire, alors elle attendit comme elle sais si bien le faire.

"Voyez vous, les éléments que nous portons sont une certaine manifestation de notre esprit, aussi savoir quel élément maitrise mon élève m'en dit un peu plus sur votre personnalité, le fait que vous ne pouvez me regarder dans les yeux aussi, d'ailleurs avec ce que j'ai appris sur vous je sais que vous avez un fort caractère ce que j'aime chez quelqu'un mais, aussi que vous êtes proche de la nature et aussi je sais par vos yeux que j'ai aperçus que vous n'avez pas du avoir une vie très facile mais, nous ne sommes pas la pour ressasser le passer"

Elle fronca les sourcils mais resta muette. Elle detester que l'on parler de son passé, si il y avait une chose qu'elle detester, c'est bien son passé. En repenssant a toute les chose qu'elle avait fait, il n'y aait pas grand chose qu'elle aimerait se souvenir. Tout s'était briser dans son esprit, et elle n'avait aucuneenvie de réparer les morceaux. Elle regarda l'arme de Nomonzu et une luur de colère s'alluma dans son regard. Elle avait deja vu une arme de la sorte. Mais elle avait fait plus de mal que de bien. Elle ne dit rien mais bouiller de colère. Une phrase interrompit ses reveries.

"Montrez moi ce que vous savez faire "

Elle sursauta. Ce qu'elle savai faire, elle n'aimait pas le montrer car elle-mêem ne connaissait l'étendue de son pouvoir. Elle regarda autour d'elle cherchant un bout de bois. Elle ne trouver que de vulgaires tas de poussière. Elle soupira et dit a son professeur :

-Ce que je sais faire ? Moi-même je ne le sais pas..... Du moins jusqu'ou je pourrais aller.

Elle se retourna et vit un minuscule baton de bois pres de la porte. Elle luilanca un regard plein de regres et le pris dans ces mains. Elle prit une grande inspiration et commenca a entonner une berceuse que sa mère lui avait appris. C'était la seule chanson qu'elle pouvait chanter sans ressentir de la colère, des regrets ou de la peur. Sa voix s'envola dans toute la pieces, faisant voleter ses cheveux avec grace. Doucement, le batn se transforma en une épée fine et longue. La transformation finit, Aestrëlia regarda avec dégout l'arme. Elle murmura :

- C'est ce que je sais faire......

Elle tendit l'arme a Nomonzu ne supportant pas de tenir pareil chose. Si elle pouver, elle la jeterrai, mais elle blesserai le bois. Elle ferma les yeux et attendit en silence comme elle avait l'habitude de faire. Et repensa au jour ou elle avait découvert ses pouvoirs. Elle aurait aimer que ce jour n'ait jamais exister.

Nomonzu regarda l'arme mais, il ne la pris pas, au lieu de cela il alla près de la cible et la changea en chaise avec le même procéder que précédemment, puis il fit signe a sont élève de s'asseoir :

"Bien je vois ..."

Il attendit qu'elle veuille bien s'asseoir avant de continuer.

[Désolé pour l'attente Razz

]

"Bien je vois ..."

Aestrëlia se sentait fatigué et finalement, elle n'avait plus du tout envie de faire cours. Elle trouver le temps long, décidement trop long. Voyant que le professeur ne pernait pas son épée, elle cligna des yeux et rendit a l'épée sa forme originel. Un vulgaire morceau de bois, qu'elle ne traiterait pas de vulgaire. Elle soupira peniblement et attendit quelque instants. Quand son professeur presenta la chaise, elle se redressa et s'assit sans plus attendre. Elle detester rester debout et pris le plus grand plaisir a se sentir soutenu par quelque chose. Elle osa demander.

- Euh.... Bien je vois ? C'est-a-dire... Je veut dire.... Qu'est-ce que ca a donner ?

Elle s'en voulait de poser trop de question en même temps mais elle ne comprenait pas trop ce qu'avait dit son professeur.

Aurore, plusieurs rayons se dégageaient sur l’appartement qui se résumait à être sa chambre à elle et à sa colocataire, avec qui, d’ailleurs, elle avait en premier manifesté son manque de sociabilité étant donné qu’elle n’avaient pas encore échangé le moindre mot, la moindre syllabe. C’était déconcertant. La chaleur était douce, mais le froid aurait été favorable à son égard. Froideur extrême même. Pourquoi diable fallait –il que l’orage se fasse rare ses temps – ci ? Pourquoi tout ce qu’elle avait fait, subit, ce qui l’avait endurcie n’était jamais assez ? De plus, ces derniers temps, l’on venait lui reprocher sans cesse de manquer au cours . . . Ce n’était pas réellement qu’elle s’en inquiétait, il fallait bien voir la réalité en face. Soyons franc, elle s’en foutais royalement. Si elle ne participait jamais aux cours, la seule raison pouvait tout à fait demeurer être la suivante : Agresse les professeurs, les menace , les démoralise. Toujours, ces derniers le lui reprochaient. Aucune envie, non, ils n’inventaient rien. Souvent, ses bulletins n’étaient pas même envoyés à son adresse, les établissements l’oubliaient sans se soucier réellement d’où elle se trouvait. Il était donc ridicule de lui faire part de son manque de présence .

Elle se levait ce matin encore, vers les quatre heures du matin, s’en allant prendre ses somnifères, inutiles, comme la majorité du temps. Elle soupira, couvrit ses épaules de sa couverture, et s’extirpa de ses draps de coton blanc, découvrant une tâche sur son oreiller. Un saignement de nez, sans doute. Elle laverait la taie demain, ce n’était pas ce qui ferait souffrir le monde. Yukina s’attacha grossièrement les cheveux, noirs d’encre, courts. Des envies bizarres de destructions la démangeait. Elle se sentait s’énerver contre un rien, pour tout bonnement rien, d’ailleurs. Elle marchait droit devant elle, longeant les murs en glissants sa main sur ces derniers, puis pénétra dans la salle de bain où elle resta une heure ou deux, sous l’eau bouillante.

Elle en sortit enfin, se dirigeant vers son armoire à fringues, quelles breloques allaient – elle enfiler ? Peu importait, tout la laissait indifférentes depuis bien des années. Elle opta pour la veste de jogging beige à la teinture délavée grise par l’usure. (Voir avat ’) D’un pas décidé, elle lassa ses chaussures et se mit en route à travers le long couloir interminable qui menait aux salles de classe, aucun bruit ne s’échappait de ces dernières, sauf le boucan des baguettes que les profs frappaient sur les tableaux d’ardoise.

*serait sans doute tant que j’y aille, à leur bordels de cours. Première porte, j’ m’infiltre *.

Enfin, cette porte apparut. Elle n’avait pas prit soin de faire attention à quel cours s’agissait –il, mais elle y pénétra sans y demander son reste. S ’ assied violemment sur une chaise qui ne lui avait rien fait, au fond de la salle, et commença à fouiller dans sa poche pour y trouver une cigarette. Ah non, elle se remémora qu’elle se trouvait en classe. . .

* Bon Dieu, j ’ regrette déjà. *

Elle se retint également de soupirer, mais attendit simplement, quoi ? elle ne savait pas. Pourquoi s’était elle aventurée jusqu’ici ? Elle remarqua seulement après les deux personnes qui discutaient ensembles, et qu'elle n'avait pas semblé déranger. Tant mieux. Les envies de chaos lui revenait en tête, noires. Elle devint nerveuse, le professeur ne devait pas chercher la petite bête, elle s'emporterait facilement. . .

Nomozu, s'arrêta quant une autre élève entra, il la regarda s'asseoir puis il se mit le poing devant la bouche et ce gratis la gorge pour attirer l'attention de la nouvelle venue.

" uhm ! uhm ! Mademoiselle ? Veillez venir le cours ce passe ici."

Puis il regarda ça premiere élève.

"J'aimerais vous poser une question, que je poserai aussi a votre camarade ..."

Dit-il en regardant ces deux élèves tour a tour.

"A quoi sert la force selon vous ?"

Aestrëlia regarda en silence la porte. Bon Dieu qu'elle aimerait qu'elle s'ouvre. Elle crut qu'elle allait étouffer. Soudain, la porte s'ouvrit violement et une jeune fille entra brutalement. Son attitude amusa Aestrëlia, elle qui s'ennuyait, elle se rejouissait d'avoir un peu de compagnie. Elle tourna sa tête vers Nomonzu.

" uhm ! uhm ! Mademoiselle ? Veillez venir le cours ce passe ici."

Aestrëlia se retint de pouffer. Elle cacha son amusement derrière son fameux regard qu'elle deservait a tout le monde. Il les mettait mal-a-l'aise et cela lui faisait plaisir. Il leur clouait le bec, quoi...

"J'aimerais vous poser une question, que je poserai aussi a votre camarade ..."

*Allez-y dîtes toujours .....*

Elle soupira et baissa la tête morte d'ennuie.

"A quoi sert la force selon vous ?"

Elle emit un bruit de gorge rauque. La force ne servait pas a grand chose, a faire souffrir..... Si la force servait a quelque chose, elle ne serait pas la pour temoigner. Elle soupira et releva sa tête. Elle tourna et retourna la question dans sa tête et répondi comme si elle reciter un poème :

" La force sers a faire souffir, elle brise la barrière de la conscience et vous fais tomber das l'inconscience. Néanmoins, la force peut nous sauver, il suffit d'avoir le mental, et le reste suivra. Si vous sombrer dans le gouffre de la puissance, vous serez rattraper par la folie. Vous sombrer donc dans l'inconscience, plus communement appeler les tenebres. Si un voile de lumière recouvre cette force, les peines son prisonnières et vous signez votre arret de mort."

Elle repris son souffle et conclua :

" La force sers donc a faire souffrir, ou a faire sombrer dans les tenebres. N'utilise la force que ceux qui savent resister a l'appel du coursiers sans tête appeller folie ou mort."

Elle glissa ses mains dans sa poche et en sortie une petite bague sertis d'un minuscule rubis. Aestrëlia l'observa longuement et la fourra delicatement dans sa poche. Elle ferma les yeux et entonna une berceuse dans sa tête. Pour se calmer, et pour respirer. Elle se sentait lasse, lasse de rester eveiller. Elle voulut rouvrire ses yeux mais le sommeil l'en empechait. Une image brisa ce sommeil. Elle ne vit qu'une mare rouge. Elle ouvrit les yeu en sursaut et s'efforca a calmer les battements de son coeur. Quand elle fut calmer, elle se rassit confortablement dans sa chaise et continua d'entonner sa berceuse, laissant paraitre quelques murmures inaudible.

Décidément, elles devaient se suivre . . .Toutes les deux se retrouvaient souvent aux même endroits, et Yukina ne croyaient pas, plus, au coïncidences depuis bien longtemps. Peu importait, elle n'allait pas empêcher l'autre élève de participer au cours de combats, même si elle sentait bien que cette dernière ne mettait pas tellement de coeur à l'ouvrage. Cette pointe de dégout dissimulée grossièrement dans ses paroles ne lui allaient pas du tout. Elle devait sans aucun doute, non aucun, dire d'habitude ce qu'elle avait sur le coeur, hors, là, elle semblait s'obstiner à faire le contraire, comme si elle souhaitait ne pas décevoir le professeur. Avait -il un air aussi déséspéré pour qu'Aestrelia se comporte de la sorte?

* C'est simple, si ça commence à me taper sur le système, j'me barre. . .*

Il répondit par la négative puisqu'il se racla la gorge par deux reprises. Signe d'impatience? D'énervement ? Maudite créature que les humains. Et malheureusement, elle en faisait partit. Elle n'y prêta aucune intention. Ah, en fait, si, peut e^tre une fraction de seconde, celle où il s'apprêtait à déclarer le discours habituel du " Tiens, une nouvvelle arrivante. . .Auriez vous l'amabilité de m'indiquer votre nom? Je vous prie d'être à l'heure pour la fois prochaine, demoiselle. . ." Elle apréhendait ces paroles, mais à son grand étonnement, il sortit des phrase totalement différentes de ce qu'elle aurait cru.

"J'aimerais vous poser une question, que je poserai aussi a votre camarade . . ."

Yukina sourit, amusée par cette petite remarque. Trop de politesse, les cours avaient commencé depuis peu au pensionnat, et les élèves se comptaient sur les doigts de la main . . .Ses formules soignées lui donnaient un air limite noeuds-noeuds. . . Bref, elle posa ses coudes sur la table, et appuya son menton sur les paumes jointes de ses mains. Elle se plaisait à écouter le professeur donner ses explications qui ne servaient à rien. . . A ses yeux, du moins. Mais dépenser son énergie était une bonne chose à ce que l'on disait .

"A quoi sert la force selon vous ?"

Pas mal. Voix sûre cette fois - ci, qui effaçait l'effet qu'il lui avait imposé précédemment. Un vrai prof. . .La barbe, en gros, elle s'était fait des idées en pensant que cette fois, cet établissement allait changer sa vie monotone et morne. Un bruit de vêtement en mouvement :Aestrelia baissait la tête. S'ennuyait -elle? Pathétique. Elle se croyait supérieure à ce qu'un prof pouvait enseigner? Soit. . .

Yukina soupira profondément, non pas qu'elle en pensait quelque chose de semblable, mais la force était une chose sympathique, dont il ne fallait pas abuser. Perdre trop d'énergie pouvait nuire . . .Bien plus que la majorité des personnes ne pouvait le croire.

- Bien, belle intro pour un cours. . .Bon la question, la force dites - vous? C'est quelque chose d'amuant, vraiment . . .

Le profaisseur eu un large sourir.

"Mademoiselle Tsukino, c'est la réponce la plus sencer que l'on mes faites, en effet la force peu détruire beaucoup de chose, mais je suis aussi ici pour vous aprendre il faut vous en servir, j'ai déja vue un de mes élève sauver ça mère d'une agrétion, j'ai eu aussi l'ocation de sauver certain de mes élève grace a ma force et a mes principe, ce qui veu dire que la vrais force c'est celle de vore intélecte."

Il regarda l'élève du fond qui semblais s'enuiller d'être ici ...

" Même vous la bas, je suis convincu que vous pouriez faire de grande chose, alors certe nous ne sommes que trois dans ce cour mais vous au faond vous aprendrais a devenir une combatantte de génie, quant a vous qui n'aimer pas la violence je vous aprendrai a utiliser vos pouvoirs de tel sorte que vous puissier protégé une personne sans user de la violance ou alors a gérire une personne qui va mourir mais pour cela ça dommendera du travaille !"

Il regarda c'est deux élève avec un semblant de fierter.

"Maintenant j'ai besoin de savoir si vous êtes avec moi ou pas !"

Peut-être qu'après tout, elle ne s'ennuierait plus à partir de maintenant. Franchement, elle n'y croyait pas du tout. Les cours et elle ne faisaient que deux, jamais elle n'avait put s'entendre avec un professeur, et jamais aucun n'était entré dans son estime personnelle. Le fait de se retrouver enfermer dans une pièce accompagner d'une jeune fille qu'elle, comment dire... Qu'elle ne portait pas tellement non plus dans sa grande estime, et d'un professeur, n'arranger pour rien son humeur. Vive l'ennui ! Elle n'aurait rien trouver de plus interessant à faire a vrai dire... Ou peut-être que si après tout, mais rien d'aussi "amusant" que de suivre un cours !

* Comme la vie est bien plus belle quand on la voit de ce coté... Baliverne, franchement, j'sens que j'vais craquer... *

Tout ce que le professeur trouva à répondre c'est un vieux flash back, mais bordel, qu'est-ce qu'elle l'aimer ce professeur... A vomir oui. Elle lui sourit brievement comme elle savait bien le faire, car son sourire se perdait toujours dans une grimace plutôt sadique. Mais elle s'en contreficher, après tout, qu'il lui apprenne quelque chose. Il prit un air fier, comme s'il allait leur apprendre le secret de la force suprême. Bof, même ça elle s'en contreficher...

"Maintenant j'ai besoin de savoir si vous êtes avec moi ou pas !"

Comme elle avait envie de rire fasse à cet enthousiasme. C'était drôle. Elle n'était venu ici que par hasard, peut-être en sortirait-elle par obligation...

* Dédale de saloperie, vie de chien et bonheur brisé... Pourquoi veut-il qu'on le suive si franchement, on est ici que par hasard... Enfin, c'est mon cas...*

Elle jeta un bref regard a Yukina, elle était... Etrangement étrange diras-t-on. Cette fille ne lui inspirait vraiment pas confiance, pourtant elle aurait aimé la connaître un peu plus, mais après tout, la vie des autres de l'interessait en rien. Elle soupira et haussa les épaules, un "oui" peut expressif.

« Pourquoi pas, si ce que vous dîtes est vrai... »

Elle insista sur le "vrai", la vérité elle ne l'avait servie que peu de fois, et ça n'allait pas changer. Mais elle y croyait encore, en tout cas, pour son bien, elle écoutera ce que ce cher professeur auras à lui apprendre...

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